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casablanca immobilier vente et location

4 février 2012

Le marché de l’immobilier dans la métropole casablancaise est en train de se redresser


Le marché de l’immobilier dans la métropole casablancaise est en train de se redresser. Selon Abel Soulaymani, flathunter chez l’agence immobilière Capital Foncier, le marché est très actif en termes de transactions en ce qui concerne la seconde main dans des quartiers chics de Racine et Gauthier ou encore Palmier. «Beaucoup de personnes ont attendu la baisse des prix qui n’a pas été très significative car elle a été très légère ces derniers mois et on a eu très peu de transactions durant le premier semestre de cette année», nous commente Soulaymani. Cependant, durant le deuxième semestre, les affaires ont repris considérablement et le marché du locatif a enregistré des hausses notoires chez l’agence Capital Foncier. Et pour cause, l’arrivée de plusieurs expatriés à Casablanca et qui ciblent les quartiers du Maârif, Gauthier et Racine.
Tramway, une épée à double tranchant
En effet, les différents chantiers lancés récemment notamment le complexe commercial Morocco Mall ou encore le Tramway ont eu leur lot d’expatriés qui visent des quartiers calmes. Notre source ajoute avec optimisme que 2012 sera riche en transactions, puisque la ville commence à devenir un véritable hub africain pour plusieurs grands groupes internationaux qui y installent des sièges. D’ailleurs, Soulaymani nous confie qu’il y a une tendance palpable à l’achat de la part de ces expatriés au lieu de payer des loyers parfois excessifs.
Toutefois, d’autres quartiers peinent à enregistrer une hausse des transactions notamment le vieux centre ville ou Mers Sultan. La cause principale de cette morosité est le chantier du Tramway. C’est dire que ce chantier est une épée à double tranchant pour la ville de Casablanca.

ref:lesoir-echos.com
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24 janvier 2012

Acheter ou louer à Casa : les bons plans, les bons prix

IMMOBILIER Acheter ou louer un appartement à Casablanca n'est pas aussi simple qu'il n'y parait. Prix exorbitants, mauvais plans, comment trouver la bonne affaire ? Made in Casablanca a demandé à des agents immobiliers réputés de faire le point sur le marché.
 
Avec ses 5 millions d'habitants, Casablanca est une ville multiple où aucune rue ne ressemble à une autre. Nous avons décidé de sélectionner quatre zones, quatre types de quartiers qui pourraient vous plaire, et qui ont le mérite d'accumuler les avantages. Commençons par jeter un coup d'oeil à Racine et Gauthier, les quartiers les plus demandés. On y trouve, à la location, des appartements dès 6.000 dirhams, et jusqu'à 10.000 pour une taille standard. Mais attention, si vous recherchez un duplex rue Molière, il va falloir être prêt à mettre beaucoup plus ! “Ce sont les quartiers les plus recherchés, explique Thierry Rocheteau de l'agence Clé immobilier. Tout le monde veut être dans le triangle d'or, parce qu'ils savent qu'ils ont tout, restaurants, boutiques, pharmacies, banques, etc., à proximité.”
 
 
En voie de développement, Bourgogne et Maârif présentent d'autres avantages, mais aussi d'inconvénients. On y trouve encore des appartements moins chers, y compris à l'achat, mais il faut faire attention, car ils deviennent très vite tendance. “Le problème de Maarif est qu'on ne peut pas s'y garer", tempère Houda Houti de l'agence Century 21. Tous les deux anciens quartiers populaires, ils se développent et s'embourgeoisent petit à petit. Résultat, vous trouverez des appartements à des prix encore raisonnables, et même des studios à Maarif, plutôt difficiles à dénicher ailleurs.

Villas et appartements historiques

Un peu plus d'argent à mettre ? Beaucoup plus, même ? Alors osez les villas. Celles d'Anfa et du CIL sont les plus réputées. Proches de la mer, elles se négocient, à la location, autour de 20.000 dirhams par mois. C'est cher, certes, mais vous payez aussi, en général, la vie en communauté de ces quartiers, la sécurité de ses gardiens, et les piscines et parcs d'enfants qui vont avec. Sans oublier l'espace, au moins 300 mètres carrés en moyenne !

Enfin, les amoureux du patrimoine et des vieilles pierres iront plutôt chercher du côté du Casa historique, dans l'ancien centre ville. Le quartier est en pleine rénovation avec l'arrivée du tramway, et on peut espérer que, tôt ou tard, les façades pourries et les cages d'escalier grisâtres retrouvent leur luxe d'antan. Fouzia Ejjawi, militante pour la protection du patrimoine, est aussi une agent immobilier spécialisée. « Ici, tout a été construit entre 1912 et 1970, par des grands architectes de renom. Et les immeubles tiennent bien mieux que ceux construits dans les années 80 !» Les points forts du quartier : ses appartements « dans leur jus », avec des hauteurs de plafond impressionnantes, des parquets, d’immenses terrasses, et un cachet art déco, fer forgé, moulures, tout d’origine.
L'un de ces quartiers vous intéresse ? Alors retrouvez nos articles détaillés sur chacun d'entre eux.


Réf:casablanca.madeinmedina.com
24 janvier 2012

La flambée des prix dans le secteur immobilier à Casablanca

Casablanca, capitale économique du Maroc et en même temps la première ville et agglomération du pays. Cette ville s’est développée en partant de la médina et du premier bassin du port, et ce à partir de 1920. Ainsi entre 1917 et 1922, l’urbaniste Henri Prost dessina les premières ébauches d’extensions pour ensuite être suivi en 1950 par Michel Ecochard qui en dessina un nouveau plan d’organisation et d’extension de la même ville.  Ce développement, le secteur immobilier n’est pas resté dans les coulisses, bien au contraire.
Presqu’à la même vitesse que Marrakech, le secteur immobilier à Casablanca a connu un essor de taille et de grande envergure durant de longues années. Cependant, au cours de ces cinq dernières années, le nombre de promoteurs à augmenté à une vitesse exponentielle. Les investisseurs eux aussi s’y sont aussi rué. Un moment unique dans l’histoire de Casablanca que ce secteur suscite autant d’engouement. En revanche, il faut le reconnaitre, cette euphorie qui s’est emparée du secteur immobilier en a fait des malheureux dans le camp des clients. Mais, jusqu’ou les prix évolueront il, demeure la question épineuse.

Par conséquent, un rééquilibrage de la situation s’est fait ressentir ses derniers temps. Cette nouvelle situation s’explique par le ralentissement ou l’affaiblissement des activités. Des promoteurs immobiliers qui parvenaient à réaliser 2 à 3 immeubles dans une année, n’en réalisaient plus qu’un seul. Le logement social a été le segment qui a été le plus atteint dans cette baisse de l’activité. D’après Iben Mansour (président de l’association des lotisseurs et promoteurs immobiliers de Casablanca), les travaux entamés dans la section du logement social ont presque été arrêtés à Casablanca.
En revanche, les promoteurs du moyen standing se frottent les mains, ils ont montés échelon et font la différence tout en adaptant leur offre à la situation actuelle qui prévôt dans le monde immobilier à Casablanca. Ce qui fait que le logement classé en moyen standing autrefois, passe à la gamme haut standing. Quand on sait que le segment du haut segment est le mieux portant actuellement. Cette nouvelle situation, a  poussé les promoteurs immobiliers à penser à de nouvelles zones urbaines, ce qui permettra de finaliser tous les projets en attentes dans la section du logement social et surtout de pouvoir réintégrer la classe la plus basse de la société dans le processus du marché immobilier à Casablanca. Il est vrai que les prix ne baisseront pas d’un seul coup, mais avec la création de nouveaux quartiers pourra entrainer un léger changement et constituera une alternative pour les couches moyennes. Ceci contribuera en même temps à réguler le marché de l’immobilier et surtout désengorger le centre ville.

En somme, la flambée qu’à connu le secteur immobilier à Casablanca a quand même eu des retombées positives, de nombreux investisseurs ont été attirés vers le secteur, ce qui est un bon début pour le professionnalisme du milieu. Aussi, le manque de foncier au centre a favorisé le lancement de vastes projets dans les zones périphériques qui favoriseront les grands promoteurs et les plus petits seront obligés de varier leur produit et s’unir afin de ne pas rater le nouveau train. Ce qui revient à dire que ne pourront exercer le métier de promotion immobilière que les détenteurs d’un vrai savoir faire.
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